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zero + because darkness is everywhere

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Ven 20 Avr - 19:13
ZERO KENTO

Derrière l'écran

PSEUDO - Kay
AGE - 23 cette année
DÉCOUVERTE DU FORUM - quelque part, y a un truc.
CONNEXION - quotidienne, en ce qui concerne les rp cela dépendra de la motivation, comme tout le monde
COMMENTAIRE - j'ai hâte de voir le développement du forum zero + because darkness is everywhere 4177624105

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Informations

GROUPE - agent de terrain du ccg (informateur), 2ème grade
AGE - 27, cette année 28
NATIONALITÉ - japonaise
ORIENTATION - pan
STATUT - célibataire
TRAVAIL - agent de terrain, informateur sur un arrondissement de Tokyo qui lui a été assigné par le CCG, bourreau de goules à ses heures perdues

TAILLE - 1m85
PARTICULARITÉ(S) - des oreilles d'elfes, "DEMON" tatoué sur les doigts de sa main droite (une lettre sur chaque doigt), un serpent sur le long de son bras gauche dessiné comme s'il tentait de le lui broyer
QUINQUE - epée-serpent écailleuse, qu'il nomme Rika

AVATAR - park chanyeol


caractère/anecdotes

En bref ; maniaque, très prudent, a des tocs, ouvert d'esprit, adore les mangas hardcore avec du sang et de la torture (physique et/ou psychologique -judge & doubt blblbl), ne tutoie jamais, hautain, sarcastique, égoïste à souhait, poli, la mort est sa phobie, tempérament qu'il ne faut pas chauffer, besoin de torturer pour rester serein (oui il est taré), bon informateur, très respectueux envers ses supérieurs, déteste qu'on pose trop de questions sur lui, regard vide ou rempli de folie, aime essayer plein de trucs, la pluie et le calme de la nuit, le café, manger, intelligent, fort physiquement, instable psychologiquement, s'adapte à tous types de situation, distant, méfiant, fumeur. son apparence est calme bien que trop fermée, il ne fait confiance à personne mais il y a encore beaucoup beaucoup de choses à apprendre sur le côté relationnel XD clairement, il ne sait pas comment faire, il n'est pas à l'aise lors des discussions anodines, ou quand on l'aborde pour lui demander son numéro par exemple (il est populaire à sa façon). il a des tendances sexuelles particulières mais ça ... on va pas développer maintenant.

Tu vérifies deux fois le nom sur la porte de ton appartement avant d'y entrer. Il y a toujours ce sentiment de ne pas être le bienvenu dans cet endroit. Tu tournes le verrou même quand tu es à l'intérieur, et tu reviens vérifier au moins une fois avant de te coucher.

Tu n'as pas d'animaux de compagnie, parce que tu n'as pas le temps de t'en occuper, tu préfères largement passer ton temps à marcher, à faire du sport ou à t'entraîner que de prendre soin de quoi que ce soit d'autre. Ton monde, c'est toi, et toi seulement.

Tu adores lire des mangas, peu importe le style et le public visé, il y a de tout dans ta bibliothèque, mais ceux que tu gardes précieusement, ce sont ceux qui traitent de la torture. Tu préfères lire des mangas plutôt que des bouquins, parce que les images en disent plus longs que les discours.

Tu es maniaque. Ton appartement ne contient pas une seule trace de poussière, les fenêtres sont ouvertes à des heures régulières afin que le jour et la chaleur/fraîcheur (dépendant de la saison) puissent entrer dans les pièces, sans non plus avoir des insectes. Contre ceux-ci, tu es d'ailleurs sans pitié. Si on entre chez toi sans ta permission, tu ne réfléchis pas deux fois avant d'agir. Et cela vaut aussi pour n'importe qui d'autre.

La politesse est quelque chose d'incorporé dans ta façon de parler. Tu n'appelles pas les gens par leur prénom et tu ne te formalises jamais non plus avec -chan, -kun. Il ne semble y avoir que -san dans ton vocabulaire. Le "vous" est également présent, tu as beaucoup de mal à tutoyer, même les collègues que tu connais depuis plusieurs années maintenant. Lorsque tu te présentes à quelqu'un, tu es juste "Zero". Seule ta mère a le pouvoir de t'appeler par ton prénom.

Tu es entré au CCG parce que ta vie en dépendait. Tu n'avais pas vraiment le choix. On t'a offert des possibilités qui dépassaient ce que tu imaginais, et tu aimes jouir des jours présents, sans penser au futur.

Tu as appris à contrôler le tempérament de feu qui coule dans tes veines. Bien que tu sois quelqu'un de naturellement patient (découlant des longs jours de torture et du traitement de tes victimes pour qu'elles restent vivantes juste comme il le fallait), certains sujets sont sensibles. Comme le fait de violer ta vie privée ou de vouloir trop te connaître. Tu ne cherches pas à avoir d'amis, tu es en ville pour observer et récolter des informations, pas pour jouer avec de potentielles victimes.

Depuis que tu as découvert la vraie vie, celle de la capitale, celle qui bouge, loin des arbres et des montagnes, loin du côté très privé du traditionalisme de ton village natal, tu n'hésites pas à essayer diverses choses. En passant par les vêtements, puis les couleurs de cheveux, les lentilles, les accessoires, et il semblerait que tout te va bien, alors oui, tu te fais plaisir.

Le ton que tu emploies énerves souvent les autres, tu parles toujours froidement, avec un air hautain, et tu aimes provoquer. Tu réfléchis toujours à ce qui est le mieux pour toi, même dans une conversation anodine.

Tu fréquentes souvent les cafés, les terrasses de bar lorsqu'il fait chaud, les librairies pour acheter des mangas, des boutiques pour changer de style vestimentaire, ou bien tout simplement, dans les rues de la capitale le soir ou la nuit pour observer les étoiles. Tu aimes également la pluie et le calme, ton corps est assez résistant aux maladies, vu que tu as vécu dans la forêt une bonne partie de ta vie, alors tu peux sortir dehors avec un sweat, tu n'attraperas pas froid si facilement. Parfois, ton village te manque, et l'adrénaline de la torture, de ce sentiment qu'un être vivant a besoin de toi pour vivre, que sa vie ne dépend que de toi. Ta mère notamment te manque. Et c'est une émotion que tu détestes par dessus tout. C'est une des raisons pour laquelle tu peux devenir impulsif et violent, réagir au quart de tour, parce que tu es humain, et que certains aspects de cet être fragile t'agacent fortement.

Lorsque tu es sorti de prison, quand tu es arrivé à Tokyo, il y avait énormément de choses qu'il fallait que tu apprennes. Tellement, que tu as tout essayé. Ta soif de vouloir comprendre, connaître n'avait pas de limites, et tu as appris très vite. Pour un gamin de campagne, tu t'en sortais plutôt bien, mais il fallait remercier tes talents innés d'adaptation et de force, ainsi que ton intelligence à analyser la situation et en tirer profit. Cependant tu n'es pas sans faiblesses, et ça aussi, c'est un sujet délicat dont tu ne parles jamais, parce que tu détestes.

Tu es quelqu'un de plutôt distant avec les gens, tu ne les considères vivants que parce qu'ils seront dévorés par une goule, tués par un psychopathe ou torturés par tes soins. Tu as une petite préférence pour les jeunes de la vingtaine, la tonalité de leur voix t'excite parfois, te donnant envie de les faire crier ou pleurer.

Le sang n'est pas quelque chose qui te fait peur, tu n'es pas effrayé à l'idée d'être blessé, mais la mort, c'est un autre sujet. C'est presque phobique. Et ça non plus tu n'aimes pas, parce que ça te pousse dans tes derniers retranchements. Des retranchements que tu aurais certainement utilisés plus tard, dans d'autres situations, pour d'autres raisons.

En entrant au CCG, ton dossier a été scellé. Il aurait été ainsi plus simple pour toi d'entrer en contact avec d'autres jeunes gens comme toi, de ton âge, mais un simple regard de ta part suffisait à glacer le sang de n'importe qui. Tu as ce regard vide de sentiments, animé uniquement par la folie, tu n'as pas eu beaucoup de liens depuis. On se méfie de toi, comme tu te méfies des autres. Tu ne rejettes pas ceux qui viennent vers toi pourtant, tu peux répondre aux questions mais le sarcasme fait partie intégrante de toi, tu n'y peux rien.

Un collègue reste un collègue, des supérieurs restent des supérieurs, tu sais que sans le CCG, tu serais mort, et quelque part, tu te sens redevable. Le CCG permet de canaliser ton besoin d'entendre les gens hurler. Ton "tuteur", celui qui t'a sorti de prison, s'est personnellement occupé de ton "problème". Après ton deuxième grade, que tu as obtenu assez rapidement par ton efficacité à travailler, ton instructeur t'a emmené dans les prisons de goules pour en choisir une en particulier. Si au départ, tu n'étais pas trop motivé par leurs yeux étranges et leur envie de te bouffer, tu t'es rendu compte que de la torture, c'est de la torture. Peu importe si c'est un humain ou une goule, leur voix, si bien choisie, reste un doux son mélodique à ton oreille.

histoire

Zero. Comme le zéro que l'on mentionne en donnant son numéro de téléphone, zéro comme ce qu'il y a avant « un », zéro comme le néant, l'incapacité de définir quelque chose, comme un des nombreux numéros binaires dans un code informatique. Zéro comme le vide, comme Zero Kento. Comme toi, qui te regarde dans le miroir chaque matin.

Hida Furukawa. Un village de moins de trente mille habitants. La campagne, un cadre et des valeurs traditionnels. C'est l'environnement dans lequel tu es né. Il n'y a rien de bien intéressant à raconter sur ta naissance, mis à part que tes parents t'ont eu relativement tard. Il faut remettre le contexte à sa place ; ton père était l'un des organisateurs principaux des divers festivals du village, et ta mère, femme au foyer, se contentait de passer ses journées à s'occuper du jardin, ou à tricoter. Mais si elle ne travaillait pas, c'était uniquement parce que sa santé mentale était devenue instable : c'était clair et net, elle ne pourrait jamais avoir d'enfants. La tristesse l'a envahie, et une bonne vingtaine d'années se sont écoulées en connaissance de cause, elle ne tiendrait jamais de bébés dans ses bras, elle ne connaîtra jamais véritablement le lien entre un parent et un enfant. Jamais. Du moins, c'était sans compter un miracle, oui, parce que pour le coup, tu en étais véritablement un. Cette femme que l'on ne voyait pas souvent dehors, un jour, est descendue dans les rues de Furukawa avec un enfant dans les bras, un bébé, qu'elle nomma Kento, qu'elle aima du plus profond de son âme. Elle t'aimait, oui, elle t'aimait tellement. Tu étais surnommé le miracle de Satoyama, les Dieux avaient donné à cette femme ce qu'elle voulait depuis longtemps, le village en parlait, ils étaient heureux pour la famille Zero. Seulement, personne ne savait que cet enfant qu'elle tenait dans ses bras n'était pas le sien. Aujourd'hui encore, tu ne sais pas d'où tu viens. Tu n'es pas au courant du mystère qui couvre ta naissance.

C'est une enfance calme que tu as reçue, tu étais chéri et aimé, et c'est tout ce dont a besoin un enfant pour évoluer correctement. En grandissant, tu as appris à connaître les environs comme ta poche, la montagne, la forêt, tu étais déjà un explorateur, un gamin qui n'avait pas peur des bobos et du sang. Souvent, tu accompagnais ton père pour te faire connaître, pour que l'on remarque ta présence, qu'on te dise que tu étais beau garçon, que tu allais devenir quelqu'un d'important, que tu étais grand, et que tes oreilles étaient bizarres. Mais personne ne disait que tu ne ressemblais pas aux Zeros, non personne, parce que ton père était quelqu'un d'important, quelqu'un qui avait de l'influence, et même si dans les villages, les messes basses sont courantes et les rumeurs rapidement transmises, ici, il était préférable de taire ce que l'on pensait. Pour dire la vérité, déjà petit, tu préférais gambader à l'extérieur plutôt que de rester avec ta mère et ça, elle l'a très mal vécu. Parce que tu étais son bébé, son enfant, elle était persuadée de t'avoir mis au monde, et tu lui appartenais. Ce sentiment de possession qu'elle posait sur toi était lourd, et la nature t'aidait à t'échapper. Parfois même, lors de tes aventures, tu croisais des touristes, et les accompagnait jusqu'à une certaine limite. Des limites que tu t'étais fixées pour ne pas te perdre. A l'adolescence, tu faisais des nuits blanches dans le calme et la tranquilité de la nuit. Il n'y avait rien de plus beau que le paysage de la montagne accompagné de la lune et ses étoiles.

Au retour de tes escapades, ta mère te hurlait dessus. Elle avait peur, de te perdre, que tu disparaisses d'un coup, que tu te volatilises aussi vite que tu étais apparu dans sa vie. Et elle criait encore et encore, jusqu'à ce qu'elle fonde en larmes, te prenant dans ses bras, s'excusant, inlassablement, parce qu'elle t'aimait du plus profond de son coeur. Elle était dépendante de toi, si tu n'étais plus là, elle ne survivrait pas. Tu lui promis de ne plus t'en aller sans la prévenir, mais c'est arrivé tellement de fois que tu avais arrêté de compter. Plus les années passaient, et moins la situation s'arrangeait. Elle perdait l'appétit, s'arrachait les cheveux par moment, le stress lui donnait des démangeaisons et son regard devenait livide. Elle ne vivait plus que par toi, parce que tu étais son miracle, sa raison de vivre, il n'y avait rien d'autre qui comptait. Tu aimais qu'elle te cuisine des festins à chaque fois que tu revenais après quelques jours d'exploration, elle continuait de te sourire, son regard devenait lumineux, il n'y avait que toi, et seulement toi. Tu aimais ça, te sentir important, faire vivre une personne rien qu'avec ta présence. Sans même t'en rendre compte, tu torturais cette femme, tu la menais par l'amour malsain qu'elle te portait. Disparaissant un jour, puis deux, puis parfois plusieurs nuits d'affilée. Elle avait compris que crier ne changerait rien, tu avais besoin de te dépenser parce que tu étais jeune, alors elle te laissait faire. Sûrement parce qu'elle avait peur que tu la fuies, elle avait juste arrêté de parler. Quant au père, las de tout ça, préférait se consacrer corps et âme à son boulot, parce que cela lui permettait d'échapper au contexte.

Dans l'année de tes dix-sept ans, tu rencontras, par hasard, sur un chemin touristique fréquemment suivi, trois jeunes filles. Elles étaient trois, mais l'une a retenu ton attention. Elle n'était pas beaucoup plus âgée que toi, la cadette du trio, et vous avez beaucoup parlé en marchant tranquillement durant la randonnée. Elle était jolie, parlait bien, avait le regard pétillant de vie, tu aimais son accent de la capitale, le timbre de sa voix était si beau, si mélodique. Et un cri retentit. Sans prendre garde, l'une des deux sœurs plus en avant, avait glissé sur un rebord, et son corps déformé par la chute, restait immobile.


« Bonjour Zero-san, nous venons vous poser quelques questions sur la disparition d'une jeune fille-  »
« Celle dont tout le monde parle aux infos ? »

Ta voix et ton apparition firent sursauter les deux inspecteurs devant le seuil de la porte de TA maison.
« Oui c'est bien cela. Pouvons-nous entrer quelques minutes ? Nous n'en aurons pas pour longtemps. »
Ta mère te jeta un coup d’œil, et tu lui souris.
« Je suis désolé, ma mère est malade, elle ne parle plus beaucoup. »
« J'en suis navré ... »

La situation était curieuse pour tout le monde, mais pas pour toi, tu savais pourquoi ils étaient là.
« Où étiez-vous le 20 avril ?  »
« Ici. On était à la maison, je me suis occupé du jardin une grande partie de la journée, pour éviter que maman ait mal au dos. Je ne suis pas sorti, sauf pour apporter le repas à la mairie pour mon père, parce qu'il avait trop de travail, donc il ne pouvait pas rentrer tôt et manger avec nous. »
« Donc vous étiez ici, toute la journée ? »
« Oui. Et non, je n'ai pas vu la fille de la télé en vrai, si c'est la question que vous voulez poser. »
« Madame, pouvez-vous confirmer ses dires ? »

Ton regard ne dévia que quelques secondes vers le visage de ta mère, qui te regardait de son air toujours triste et sans vie. Elle se contenta de hocher la tête avec conviction.
« Pour être tout à fait honnête, il y avait trois filles, des sœurs venues en vacances, l'une d'elle est décédée à cause d'une mauvaise chute sur le sentier des touristes, la deuxième a accouru jusqu'au village pour prévenir en laissant la cadette avec un mystérieux garçon rencontré en milieu de chemin, mais une fois que les gardes forestiers et les médecins sont arrivés, il n'y avait plus aucune trace de la cadette ni même du garçon d'ailleurs. »
Tes yeux sombres alternaient entre l'inspecteur qui avait de la peine pour les soeurs, et celui qui clairement te suspectait de quelque chose.
« La cadette est portée disparue alors ? »
Tu sentis ta mère se tendre, mais tu posas ta main sur les siennes, pour la rassurer.
« C'est exact. Nous voulions savoir si vous n'aviez pas vu un garçon et une jeune fille dans les parages, il se pourrait bien que ce soit un enlèvement. »
« Est-ce qu'ils ne se sont pas perdus ? La nuit, dans la montagne, c'est dangereux, peut-être qu'ils ne sont plus ... »

Tu pris une mine abattue. Tu connaissais les risques d'une excursion la nuit dans les montagnes et sa forêt dense. Tu l'avais fait de nombreuses fois, tu y étais habitué, mais pour des randonneurs, des touristes ...
« C'est ce que nous cherchons à découvrir. Qu'avez-vous fait le lendemain ? »
« Je suis tombé malade, pendant trois jours j'étais alitté. Maman peut confirmer, et mon père aussi. Il y a les voisins, et aussi le médecin. N'est-ce pas maman ? »
« Oui. »

Elle confirma tes paroles de sa voix rauque. Elle ne l'utilisait pas beaucoup, il y avait ce son rocailleux que tu n'aimais pas quand elle parlait, parce que ce dont toi tu voulais te souvenir, c'était celle que tu avais connu durant ton enfance. Celle qui te criait dessus, puis te prenait dans ses bras, celle qui te racontait des histoires, te lisait des livres, celle qui t'expliquait l'usage des plantes ci et là du jardin. Maintenant, tu ne souhaitais d'elle que le silence.
« Malade en cette période de l'année ? »
« Oui. »

Un instant, tu pensas que d'autres questions allaient être posées, mais aucune ne vint. Tu te levas en même temps que ces messieurs pour les raccompagner.
« Si vous vous souvenez de quoi que ce soit, contactez-nous. »
« Bien sûr, nous sommes un village solidaire, nous ferons tout pour la retrouver. J'espère que le garçon et la fille vont bien. »

Ton regard se dirigea vers le haut de la montagne, et lorsque les deux inconnus partirent, tu rentras de nouveau dans la maison. Une fois la porte fermée, tes paupières se rencontrèrent, et un rire malsain commença à naître de ta gorge. Jusqu'à ce que les larmes coulent sur tes joues, et qu'une crampe vienne te serrer le ventre. L'adrénaline du premier mensonge, de la première grande action de ta vie, voilà ce qui était en train de s'écouler dans ton sang. Il bouillonnait, tu mourrais d'envie d'y retourner. Un simple regard vers ta mère, froid, hautain, tu t'approchas vers elle pour lui caresser la tête, et lui adresser un sourire carnassier.
« Je sais à quel point tu m'aimes maman. Combien je t'aime aussi. Tu dois me protéger, c'est le devoir d'une mère, n'est-ce pas ? »
Sur ces mots, tu quittas la maison d'un air naturel et nonchalant, tu n'étais pas pressé, le temps n'était pas compté pour toi. Tu t'assuras de ne pas être surveillé et suivi, avant d'emprunter le même chemin, que tu arpentais depuis presque une semaine.

Ton coeur s'emballa lorsque tu aperçus la petite maison abandonnée au coeur de la montagne, une ancienne maison de chasseur sûrement, qui contenait encore des choses intéressantes mais qui était trop cachée par la nature pour la découvrir facilement. Tu poussas le battant de la porte avant de pénétrer dans la pièce principale. Avec une aisance incroyable et un silence religieux, tu te dirigeas vers une des pièces du fond. Tu connaissais l'endroit sur le bout des doigts, tu pouvais marcher sans regarder et ressentir le moindre craquement de bois sous tes pieds jusque dans tes veines. L'excitation monta crescendo lorsque tu t'approchas un peu plus.
« Je t'ai manqué ? »
Le corps tressauta, ce qui te fit sourire.
« Relâches-moi, je te jure que je ne dirai rien- »
« Chuuut. »

Ton doigt se posa sur ses lèvres écorchées, admirant par la même occasion les entailles qu'elle avait ça et là sur ses cuisses et ses avant-bras.


Et un cri retentit. Sans prendre garde, l'une des deux soeurs plus en avant, avait glissé sur un rebord, et son corps déformé par la chute, restait immobile. La panique gagna tout le monde, la cadette, la deuxième soeur et ton coeur s'emballa. La silhouette quelques petits mètres plus bas n'avaient plus rien de normal. Cette idiote était tombée, sans regarder où poser ses pieds, elle était morte uniquement parce qu'elle était bête. Alors que les deux filles criaient et pleuraient, que l'une prit la décision de partir chercher des secours, alors qu'elle te confiait la sécurité de la cadette, tu ne pouvais t'empêcher de regarder ce corps sans vie. Sous tes yeux, il y avait du sang, éparpillé sur les branches, les racines, elle avait souillé ta montagne, ta forêt. Ses paupières ouvertes sur des yeux blancs, sa mâchoire disloquée, sans parler de ses membres qui ne formaient plus qu'un tas d'os empilés, tu ressentis une sensation étrange. C'était un tableau qui te fascinait autant qu'il te donnait envie de vomir. Tu te tournas vers la cadette, sa voix avait quelque chose d'érotique, de chaotiquement divin, ses sanglots firent monter en toi une envie de lui prendre la main et de la garder avec toi pour toujours.
« Viens, je connais un raccourci pour aller chercher du secours ! On ne devrait pas rester là ! Fais-moi confiance, d'accord ? »
Perdue, paniquée, les yeux remplis de larmes, elle hocha simplement la tête avant de te suivre, sa main dans la tienne, serrée, comme si sa vie en dépendait.



« Vous êtes accusés d'avoir tué plusieurs personnes : quatre femmes, cinq hommes, dans la vingtaine, sauf pour une des victimes, qui avait trente cinq ans. »
Un silence s'installa dans la pièce aux couleurs grises, les murs en brique te laissaient indifférent, cela ne t'impressionnait pas. Tu avais regardé beaucoup de séries pour savoir que tu n'étais pas ici sans raisons. Tu étais fini, attrapé, piégé, à quoi bon mentir.
« C'est peut-être vrai. »
La mâchoire de l'inspecteur se crispa tellement fort que tu entendis ses dents grincer. Il frappa du poing sur la table avant d'étaler son dossier devant tes yeux. Des fichiers aux contenus qui te ravissaient. Revoir tout cela ... Une vague de frissons te parcourut.
« Regardez bien, ce sont vos actes ! »
Tu fermas les yeux quelques secondes après avoir regardé chaque cliché, tu ressentais encore, tu entendais leur voix, tu sentais leur peur, dans ta chair, jusque dans tes os, tu aimais ça, tu ne pourrais jamais t'en passer.
« Pourquoi faire ça ? Pourquoi avoir torturé et tué toutes ces personnes ? »
De tes mains liées par des menottes métalliques, tu posas tes doigts sur la photo du trentenaire. Plus de marques, plus de sang, moins de temps. Tu lui avais donné moins de temps à vivre que les autres.
« Alors les souvenirs reviennent ? »
« Il n'était pas prévu. »

Le son de ta voix était détendue, tu n'avais pas peur de la prison. Seule la mort pouvait te pousser dans tes derniers retranchements. Si tu crevais, tu ne pourrais plus jamais goûter à ce sentiment exquis que tu ressentais lorsque tu ...
« Qu'est-ce que ça veut dire ? »
« Je l'ai juste accompagné, on a discuté, il a pensé pouvoir m'allonger sur un tas de feuilles comme une vulgaire poupée de chiffons ... Mais regardez-le, il est effrayé. »
« IL L'ETAIT ! IL EST MORT ! DE TES MAINS ! »
« Hm ? Plus de politesse maintenant ? »
« Sale **** tu ne mérites pas de vivre ! »
« Parce que lui, oui ? Vouloir violer un gamin, de plus de quinze ans son cadet, c'est normal ? »
« Si tu avais porté plainte- »
« Je ne me serai pas amusé. »

Et tu ne voulais pas être la victime. Toi, tu étais le bourreau. Tu voyais dans son regard que s'il pouvait t'étrangler, il se jetterait sur toi, t'arrachant par la même occasion la gorge, la jugulaire, provoquant des effusions de sang dans toute la pièce. Un nouveau frisson te guetta.
« Les corps que vous avez retrouvés ... Remerciez-moi, parce que si j'avais voulu, jamais vous n'auriez pu aller vous excuser auprès des familles, leur dire que leurs enfants étaient morts, torturés, tués, abandonnés quelque part, dans la nature, par un cinglé. J'ai le beau rôle franchement. »
« Quoi ?! »
« Parce que vous croyiez que je n'étais pas au courant ? La première fois que vous êtes venu dans MA maison, c'était pour la disparition de Rika. Si vous aviez fait un peu mieux votre travail, elle serait probablement encore vivante. Parce que quand vous posiez des questions, elle m'attendait bien sagement. »
« Sale petit- »
« Mais il semblerait que votre jugement n'ait pas été utile. Trois ans. Il vous a fallu trois ans pour en avoir le cœur net. »
« Alors Lee Rika, c'était toi aussi ? Où est son corps ? »

Un petit sourire étira tes lèvres. Rika. Elle était précieuse à tes yeux, il ne fallait pas qu'ils la trouvent, parce qu'elle était ta première victime. Le premier moment de plaisir que tu avais connu, les premières expériences. La première fois est toujours un peu délicate, difficile, tendue, on apprend de ses propres erreurs, et on recommence après, parce que, justement, c'est mieux après. Comme le sexe. Plus on pratique, plus on en veut, plus on veut essayer des choses.
« Réponds !! »
« Faites en sorte que ce soit intéressant, et je vous donnerai les réponses. »


L'interrogatoire dura des heures et des jours. On essaya de te priver de manger, de boire, de dormir aussi, mais ce n'était rien. Parce que seule l'idée de la mort perturbait ton esprit. On ne te tuerait pas de cette façon, mais si tu continuais à mentir, ou à ne répondre que par des énigmes, ils t'enverraient vers la peine de mort sans un regard en arrière. Et tu devais absolument éviter ça. Un jour, tu sortirais, et tu recommencerais. Tu le devais. Comme une drogue dure qui remplaçait la couleur de ton sang, tu en avais besoin. Torturer, puis tuer, entendre le dernier soupir, t'extasier de la peur ressentie par tes victimes. Tu poussas un soupir, tes pensées interrompues par un visage différent. Une femme entra dans la pièce et tu ne mis pas longtemps avant de la reconnaître.
« Bonjour Riku. »
Elle se força à ne pas pleurer. Voir ton visage devait être difficile pour elle, parce que tu étais la dernière personne qui avait vu Rika. L'inconnu à qui elle avait confié sa cadette en attendant les secours.
« Pourquoi avez-vous fait ça ? Où est ma soeur ? Où est-elle ? »
« Tu ne m'as pas oublié ? Je me sens flatté. Est-ce que tu as une oreillette, dans laquelle les inspecteurs te disent quoi faire et quoi dire ? »

Son regard fuya, et se posa directement sur la table.
« Est-ce que tu veux savoir où est Rika en ce moment-même ? »
« Vous allez me le dire ? »

Son regard remplit d'espoir te donna envie de rire tellement c'était jouissif.
« Rika ... Tu sais, Rika, je l'aime beaucoup. Nous avons passé beaucoup de temps ensemble. »
Elle serra les dents pour éviter de pleurer.
« Parce que si tu pleures, j'obtiendrais ce que je veux, alors ils te disent de ne pas pleurer devant moi. Mais je vais te détruire, tellement Riku, que tu ne pourras plus jamais te regarder dans le miroir. Peut-être même que tu ne supporteras plus ta vie. Pourquoi es-tu là ? En face d'un tueur en série ? Est-ce que ces inspecteurs essaient de me sensibiliser en t'envoyant ici ? Mais est-ce qu'ils ont penser à toi ? »
Elle se mordit la lèvre et les larmes dévalèrent sur ses joues.
« Je veux bien être gentil aujourd'hui, mais parce que c'est toi, d'accord ? Si tu t'arranges pour que la peine de mort passe à la trappe, alors disons ... Dans trois ans, je te dirai exactement où est Rika. »
Ton regard noir provoqua la vitre teintée dans le dos de Riku, derrière laquelle se tenait à coup sûr quelques hommes en uniforme, prêt à intervenir au moindre geste suspect.
« Ainsi que toutes les AUTRES victimes. L'endroit exact où j'ai laissé leur dépouille insignifiante, je le connais par cœur. Il n'y a que moi qui sache où ils sont, mais je dois m'assurer de ne pas mourir. C'est dans l'intérêt de tout le monde, non ? »
Tu savais à quel point retrouver les défunts, avoir leurs cendres ou une tombe était important pour les gens de ton pays. Ils ne te laisseraient pas mourir si tu leur donnais des noms, des emplacements, petit à petit, parce que tu étais le seul capable de leur donner des informations.

Ainsi sous les supplications de Lee Riku et sa famille, un contrat fut signé. Il te restait trois ans à vivre. Trois ans pour trouver une solution, pour t'en sortir. Après ces trois ans, tu devrais dire à tout le monde où se trouvait Rika, ta première victime.


Les mois défilèrent à une vitesse affolante. Tu étais considéré comme un des tueurs les plus tarés de la prison. Tout le monde savait ce que tu avais fait, mais pas en détails. En trois ans, tu eus le temps d'apprendre les nouvelles lois de la nature, comment se déroulaient les choses à Tokyo. Dans cette prison, il y avait beaucoup de monde, et des gens avec qui tu avais fait connaissance. Certains te craignaient, mais c'était pour ça qu'ils te fréquentaient, et ces goules, ces choses qui bouffaient les humains, elles craignaient, elles risquaient de mettre le monde dans un bain de sang. Des mots qui résonnaient comme une douce mélodie à tes oreilles. Que ressentirais-tu en torturant une goule ? Tu te l'imaginais en découvrant toujours plus de choses sur elles.


Les trois ans passèrent si vite, que lorsque tu te retrouvas de nouveau dans ce bureau aux briques grises, menotté à une table, avec une chaise vacante en face de toi, tu avais l'impression que tout avait commencé hier. Ce jour-là, tu devrais parler de Rika. Tu n'as pas eu le temps de te remémorer le bon temps qu'un homme entra dans la pièce, avec une valise dans la main. Tu haussas un sourcil, curieux de savoir ce qui se trouvait dans cette énorme valise, puis ton regard scruta avec attention le type qui venait de s'asseoir.
« A qui ai-je l'honneur cette fois ? »
« Je suis un agent du CCG, je suis ici pour parler avec toi, Zero Kento. »

Tu tiquas à l'entente de ton identité complète, plus personne ne t'appelait comme ça depuis longtemps. Zero, le sans-cœur, le vide, le néant, voilà ce que tu représentais aux yeux des autres. Tu pris une mine sérieuse et concernée, une rare chose en soi venant de toi.
« Je veux que tu rejoignes les rangs des agents de terrain du CCG. Tu as les qualifications pour certains aspects du métier, tu devras apprendre les autres lors de la formation que tu vas suivre. La seule chose que tu dois me donner avant toute chose, c'est l'emplacement du corps de Rika. C'est ta dernière chance, si tu me dis tout, tu échappes à la peine de mort et tu deviens un de nos agents, sinon, t'es fini. »
« Le CCG hein ? Laissez-moi deviner. Vous avez besoin de chair à canon, et vous venez tirer au sort des prisoniers. J'ai été le chanceux du jour. »
« Cela fait trois ans que nous t'observons. Tu es capable de gérer ta folie, et tes capacités de torture peuvent nous être utiles. Tu seras un agent, seulement si tu acceptes de passer ce deal avec nous. »
« Dans les deux cas, il y a une mort prématurée. »
« Tu peux mourir demain, comme tu peux essayer de survivre parmi les goules, dans une guerre contre elles. »
« Hmm ~ Si je vous dis à propos de Rika, n'est-ce pas ? »
« C'est exact. »
« Rika ... »

Tu marques une pause en reportant ton attention sur la valise.
« Y a quoi là-dedans ? »
« Les agents du CCG, à un certain grade, sont armés de Quinques. Ce sont des armes faites à partir des cellules des Kagunes des Goules. Celle-ci, est ma Quinque. »
« Je pourrais avoir une arme aussi ? »
« Si tu passes la formation, oui. Si tu montes de grade, tu auras ta propre Quinque. »
« Mais vous savez l'air d'en savoir beaucoup à mon sujet, alors vous avez aussi conscience que mon domaine, c'est la torture. »
« Mais aussi ta soif de sang. Il faut pouvoir faire des sacrifices pour survivre. Nous avons des Goules en captivité ... »

Il se pencha sur la table, près de toi pour te murmurer quelques mots.
« Plus tu montes de grades, plus tu as d'accès aux locaux du CCG. Il se pourrait que tu trouves ton bonheur dans les sous-sols de l'agence. Je pourrais t'aider, t'apprendre, te guider vers ce que tu veux. »
« Je ferai selon mes méthodes. »
« Bien. J'aime ton caractère et ta franchise. Mais il va falloir te montrer docile si tu veux progresser. Les nouveaux sont ... »
« Rika est toujours vivante. »

(c) fiche crée par rits-u sur epicode
Invité
Ikeda Jiro
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Commentaires : crédit avatar: kimlee
Ven 20 Avr - 20:15
Bienvenue parmi nous ♥️ !!!!
Je te souhaite bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares zero + because darkness is everywhere 3653153626 !!!!
Ikeda Jiro
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Sam 21 Avr - 10:27
Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche zero + because darkness is everywhere 184512481 .

Pour répondre à ta première question, tu as les annexes à ce sujet dans la catégorie Pour Débuter. Et je vois que tu parles de première classe ; souhaites-tu commencer le jeu avec ce rang ? Dans ces cas-là, envoie-moi un MP s’il-te-plait zero + because darkness is everywhere 3700789504 .
Et pour la deuxième, nous gérons là-dessus. Ne t’inquiète pas. Nous sommes trois donc ça devrait aller zero + because darkness is everywhere 184512481 .

Merci pour tes remarques. Sur ce, si tu as besoin d’autre chose, n’hésite pas ! zero + because darkness is everywhere 4159154812
Hasegawa Yûichi
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Jiro - Shinichi - Chiaki - Sora
(vava ; truc.)
Sam 21 Avr - 11:37
Ooooh, Chanyeol en agent du CCG ! zero + because darkness is everywhere 903983109
Bienvenue parmi nous, j'ai hâte d'en apprendre davantage sur Kento !
Hiroyuki t'a déjà répondu, mais si jamais tu as besoin d'autres informations, comme elle te l'a dit, n'hésite surtout pas à venir nous solliciter :3.
Bon courage pour ta fiche et au plaisir de chasser les goules à tes côtés zero + because darkness is everywhere 468009446
Nishimura Arai
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Lun 23 Avr - 10:48
Chanyeol ♥️ bienvenue à toi et bon courage :D
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Time to eat.

zero + because darkness is everywhere Giphy
Beautiful ugly girl. I hate you.

Lun 23 Avr - 17:51

Bienvenue sur le forum  zero + because darkness is everywhere 4109656088 ! Comme l'a bien dit le staff, n'hésites pas à nous contacter directement via mp pour avoir des informations complémentaires ! Merci pour tes remarques, c'est toujours bon de nous donner votre avis !
Bon courage pour ta fiche  zero + because darkness is everywhere 4109656088
Toga Shinichi
Invité
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Invité
Lun 23 Avr - 19:56
Jiro, attends voir que je t'attrape zero + because darkness is everywhere 1729807753

Hiroyuko, merci d'avoir répondu à mes questions, j'ai mp Arai pour en savoir plus ! zero + because darkness is everywhere 1767415118

Arai, je ne le voyais pas autrement, bien qu'en tant que goule ... il aurait claqué aussi, mais j'ai d'autres projets avec quelqu'un ici zero + because darkness is everywhere 4020354439 merci pour la réponse à mes (futurs maybe) mps et pour ton passage dans ma fiche !

Seiichi, je me sens envahi par des visu zero + because darkness is everywhere 1523109244 merci !

Shinichi, merci à toi aussi pour ton passage, je suis pris en charge zero + because darkness is everywhere 184512481

je compte faire ma fiche sans doute sérieusement mercredi, je suis dans mes partiels et c'est difficile de pouvoir me concentrer sur autre chose que mes cours ! je vais faire vite ensuite pour éviter de demander un délai, en tout cas, j'ai hâte de faire mon personnage zero + because darkness is everywhere 1729807753
Invité
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Invité
Sam 28 Avr - 15:05
désolé du double-post, je m'occupe de ma fiche aujourd'hui, j'espère avoir le temps de la finir. dans le cas où ce ne serait pas le cas, est-il possible d'obtenir un délai supplémentaire, svp ?
Invité
Nishimura Arai
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Jiro - Shinichi - Chiaki - Sora
(vava ; truc.)
Sam 28 Avr - 20:46
Hey ! Un délai de 4 jours, soit jusqu'au 2 mai inclus, est-ce que ça te conviendrait ? zero + because darkness is everywhere 2786691705
Nishimura Arai
Invité
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Invité
Sam 28 Avr - 20:52
Oui ! J'ai quasiment fini de toute façon ! Merci !
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